Parfois, quand je penses trop. Quand je fais trop de méta.réflexions sur le monde qui m’entoure et la vie en général. Mais surtout quand je suis prise dans une folle vague de self.absortion, et que je sur.analyse ma propre vie.
Dans ce genre d’état d’esprit; je peux fixer un point dans le vide. Et soudainement je vois le monde autour de moi se fragmenter. C’est comme si pendant un instant je pouvais voir les milliards de particules qui composent l’univers. Des zilliards de petites sphères partout.
Soudainement, les préoccupations qui occupent ma tête se désagrègent elles aussi en micro.bille. Tout devient futilité. Et je me mords les doigts d’avoir passé autant de temps à réfléchir à ces choses au lieu d’être entrain de faire des choses.
Quand il est 23 :00, et qu’au lieu de faire mes travaux scolaires, je suis entrain d’écrire sur mon (emo) blog des choses concernant la futilité de mes métas.réflexions. je crois que c’est une signe clair qu’il est temps de fixer un point dans le vide et de me remettre au travail…
